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 L’aventurier de l’inspiration perdue (par Niapok)

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Sowmnyfer
Son Excellence Gouddhique, Le Très Grand Gouddha
Sowmnyfer


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L’aventurier de l’inspiration perdue (par Niapok) Empty
MessageSujet: L’aventurier de l’inspiration perdue (par Niapok)   L’aventurier de l’inspiration perdue (par Niapok) EmptyLun 20 Fév à 19:05

Ma réflexion de la semaine s’est axée autour du thème : « qu’est-ce que je vais encore pouvoir inventer comme conneries pour meubler mon blog, alors que je n’ai même pas une armoire normande sous la main ? ». Étant donné que pour une fois au moins dans ma vie, j’ai un but à long terme, c'est-à-dire d’un week-end sur l’autre, c’est mort pour que j’arrête maintenant. Mon cauchemar étant de me réveiller d’ici dix ans avec un mannequin dans chaque bras et repenser avec émotion à ces années où le monde ne comptait pas sur moi pour avancer, où j’étais libre d’écrire n’importe quoi sans craindre pour mon goncourt. Le cauchemar débutant au moment où le responsable du rayon lingerie de Kiabi défonce ma porte en hurlant que j’arrête de lui volait ses mannequins dans les rayons. La dernière fois, je me suis fait pincer, et il ma mit en tôle trois semaines. Après je me suis réveillé et j’ai décidé d’écrire ce blog, ne serait-ce que pour trouver un moyen de stockage pour le flot de….hummm….soyons fous….pensées qui font la planches entre mes neurones. Et pis comme dirais le pape, « gnéééé kraboudjiiiik meugneumeugneu gaaaaaaaaaaaa pochokrik ». Avouez que si on n’aime pas le kouglof, on est obligé de se résigner, ne serait-ce qu’à abandonner d’essayer de trouver une cohérence à tout ce bordel littéraire. Enfin tout ça pour dire que je cherche quelque chose à dire. Essayer de répondre aux questions métaphysiques les plus incongrues, balancer les élucubrations fumeuses les plus circonvenues, me porter en avant de la lutte contre la malculture (la culture mondiale n’ayant pas attendu l’an 2000 pour bugger ) ou tout simplement me contenter de réussir à écrire la phrase la plus longue de l’histoire de ma vie, ce qui me permet d’en profiter pour remercier tout ceux qui par le cassage de couilles qu’ils n’ont de cesse de m’apporter m’ont donné une bonne raison d’abandonner l’esclavage dictatorial de la ponctuation soit disant inventée par un moine turque du 12ème siècle et dont la plume avait tout simplement ripé sur la peau utilisée comme support d’écrire suite au première grève des industries de papiers qui s’accompagnèrent ainsi de l’apparition des premiers sans papiers lesquels , soyons en sûrs, n’aurait pas autant insisté pour se remettre a écrire s’il avait vu que leur art me servirait à relever un défi aussi stupide quelques générations de lemmings plus tard. Bon maintenant que je suis tout seul, je vais vous parler de ma semaine. Du haut de ses sept jours ouvrés, celle-ci s’est une fois de plus montrée fort conservatrice en décidant une fois de plus de débuter un lundi matin, ce qui a provoqué l’ire de l’association anti-lundi matin dont je fait parti. Mais elle fut néanmoins égayée par le bon Georges qui a utilisé le mot « paix » dans l’un de ses derniers discours biblique. Personne ne lui a dit que la paix ça sent mauvais lorsque c’est apporté a coup de bombes. Autant dire qu’avec ses histoires de paix, va encore y avoir quelques millions de personnes qui vont l’avoir dans le cul (cherche toi-même le jeux de mot dans cette phrase et gagne le droit d’être mon ami en me disant qu’elle est vachement recherchée….). Certains jours, je me suis même convaincu sans trop d’effort de n’avoir aucun talent particulier pour l’écriture et que je ferais mieux d’arrêter d’écrire. Et puis j’ai lu le Da Vinci code et j’ai réalisé que même sans quelque trace de talent littéraire, on pouvait avoir du succès. Comme quoi, ce livre a peut-être pourri la littérature de ces deux dernières années, il n’en reste pas moins qu’il m’a sacrément remonté le moral. Bon je vais m’asseoir quelques instants, histoire de digérer tout ça. Je dis m’asseoir car je n’aime rien tant que de jouer du clavier debout. C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup.


Plus que 338340 secondes avant l’épisode III…..
Gardons pour la fin cette fameuse citation de Armstrong, qui en posant le pied sur la Lune déclara : « Putain Houston vous allez rire, les russes se sont foutu de notre gueule, y’a pas de pétrole ici… »
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